À la question numéro 1 je répondrai : le réconfort d’être comprise.
À la question numéro 2, je répondrai :
QU’EST-CE QUE JE TE COMPRENDS
PLEURE TA PEINE NE LA GARDE PAS EN DEDANS
TU AS LE GOÛT DE PARLER JE SUIS LA ON PARLE LE MÊME LANGAGE.
ON NE PASSE PAS AU TRAVERS ON APPREND À VIVRE AVEC
À la question 3, je répondrai :
Disons que dans mon cas j’ai été échaudé puisque à la fin des 12 rencontres du soir [dans ma région]*, j’en avais encore besoin et on m’a dit non. Ça m’a énormément fait de peine puisque je n’étais pas prête. Il y a aussi un certain soir où est-ce que j’ai appelé(ligne téléphonique) et la personne m’a dit. " Ah bien oui Annie ça fait tant de fois que tu as appelé durant l’année" là aussi ça m’a tellement refroidi que je n’ai plus jamais rappelé. Cependant, je crois qu’il y a plusieurs choses qui ont changé que l’on m’a dit…Cela va faire 10 ans de son suicide et je n’ai toujours pas retrouvé cette joie de vivre que j’avais. C’est comme si je survivais. Il y a quelque chose qui est mort en moi cette journée-là.
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